Baudouin II. VON GENT

Baudouin II. VON GENT

Eigenschaften

Art Wert Datum Ort Quellenangaben
Name Baudouin II. VON GENT
Beruf Châtelain d'Alost

Ereignisse

Art Datum Ort Quellenangaben
Geburt etwa 1055
Tod 13. Juni 1097 Nicäa, Türkei nach diesem Ort suchen
Heirat etwa 1080

Ehepartner und Kinder

Heirat Ehepartner Kinder
etwa 1080
Regnevide ...

Notizen zu dieser Person

Baudouin II de Gand est aussi connu sous le nom de Baudouin d'Alost et dit le Gros ou le Grand, parfois confondu avec le comte Calderon[1]. Il est né vers 1065 et mort le 13 juin 1097, lors du siège de Nicée[2].

Baudouin II de Gand, seigneur de Tronchiennes[3], de Tourcoing de 1081 à 1098, seigneur d'Alost et avoué de L’abbaye Saint-Pierre de Gand. Parmi les princes qui s'associent à ces guerres qui sont appelées saintes, malgré les désordres et les crimes auxquels elles donnent lieu, est un des premiers qui arborent la croix est Robert II de Flandre. Parmi les gentilshommes flamands qui le suivent en Asie, l'histoire compte Baudouin le Gros, seigneur d'Alost, auquel l'abbaye de Tronchiennes accorde 42 marcs d'argent pour les frais de La croisade. C’est un homme d'une grande Réputation à la guerre[4]. Il tombe mortellement blessé, en s'exposant dans les nombreux assauts auxquels il avait dû prendre une part active au siège de Nicée,d'après les récits d'Albert d'Aix et de Guillaume de Tyr[5]. Il a son nom et les futures armes de Sa famille, qui figurent dans la cinquième des salles des croisades du château de Versailles, celle des chefs des différentes croisades.

Baudouin II de Gand est un membre de La Maison de Gand-Alost (1081-1165) qui porte : de Sable, au chef d'argent.

Son père, Baudouin Ier, succède à son propre père Raoul en tant que seigneur d'Alost. Son nom se trouve au bas de Plusieurs actes depuis l'an 1046 jusqu'à l'an 1080. Il en est deux, de 1050 et 1052, où il se joint a son père Raoul. Dans les autres on le voit prendre rang à côté des plus nobles personnages, tels que les évêques de Tournai, d'Amiens, de Térouane, de Béarnaiset de Paris, les comtes de Soissons, de Boulogne, de Guines, de Saint-Pol et les premiers barons de France. C'est ainsi qu'il signe à Corbie (1065) et à Aire (1075) deux actes du roi Philippe Ier de France pour l'amortissement des biens de L'abbaye d'Itasnon et de L'église de Saint-Pierre à Aire. C'est ainsi encore qu'il assiste à Bergues, en présence du corps de Saint Winoc, à la cour solennelle tenue, le jour de La Pentecôte 1067, par le comte Baudouin assisté de L'évêque de Térouane, dans le but de Terminer les différends que l'abbé de Cette ville a avecses religieux.

Il reçoit un présent du comte Robert le Frison les terres de Tronchiennes et le pays de Waes et de Ruslo. Sur la fin de Sa vie, il signe un acte de Ce prince en laveur de L'abbaye de Messines (1080). Il meurt peut-être le 24 avril 1181. Il laisse après lui six enfants, parmi lesquels nous remarquons Gautier, son second fils, qui est la souche des seigneurs de Termonde.

Selon certaines sources[6], Baudouin de Gand, seigneur d'Alost, son père, est le mari et d'Ide, fille de Baudouin le Pieux, laquelle devrait alors être la même qu'Ode, femme du seigneur d'Alost. La plupart des historiens et généalogistes se contentent d’écrire que Baudouin II est le fils d’Ida ou d’Ode, mais sans préciser à quelle famille elle appartient.

C†™est en 1081, dit la Chronique de Saint Ваvon, que Baudouin II de Gand succède à son père Baudouin. La Flandre est alors en proie à des désordres et à des brigandages de Tous genre. Mais on voie aussi surgir des hommes apostoliques, quipar leurs prédications s'efforcent d'arrêter le, mal. Un moine de L’abbaye Saint-Pierre de Gand convertit, par sa parole éloquente et inspirée, six preux chevaliers qui font pénitence et élèvent près d'Alost le monastère d'Affligem (en), avec lequel nos seigneurs ont de Nombreux rapports. Le pape saint Grégoire VII envoie en Flandre saint Arnoult de Soissons, évêque de Soissons, mais flamand d'origine, afin qu'il rétablisse l'union entre le clergé et le comte Robert le Frison. Celui-ci est docile àla parole du saint et le prie d'employer aussi son zèle à procurer le bien de Son peuple agité par d'interminables discordes intestines. Les grands du pays joignent leurs prières à cellesdu comte. On cite surtout Baudouin II de Gand, Everard de Tournai et Conon son frère. A leur invitation, saint Arnoult de Soissons se met à parcourir une grande Partie de La Flandre (1083) apaisant les dissensions populaires par ses pieux discours, ses bons exemples, sa vie toute sainte,enfin ramenant partout l'ordre et la paix[7].

En 1077, Robert le Frison associe à la charge comtale son fils aîné Robert, qui gouverne seul le comté lorsque son père effectue en 1085 un pèlerinage[8] vers la Terre sainte. L’absence de Robert le Frison dure près de Six ans, au cours desquelsil se rend à Jérusalem et au Mont Sinaï pour vénérer le tombeau de Sainte Catherine. Il aide Alexis Comnène dans sa lutte contre les Bulgares et les Sarrasins. Ce type d'expédition préfigure les Croisades, qui vont être lancées quelques annéesseulement après le retour de Robert. Baudouin II l’accompagne en son pèlerinage vers la Terre Sainte[7].

Baudouin II de Gand assiste, en 1096 à une charte par laquelle le comte Robert Ier de Flandre confirme à l'église de St-Thierri de Reims la donation du bois de Haerlebeke, faite par sasœur Adèle, reine de Danemark[9].

A son retour il souscrit aux lettres par lesquelles Henri Ier de Brabant, comte et avoué du pays de Brabant, dote de Ses biens le monastère d'Affligem (en) (1086). Il signe aussi comme témoin des lettres de Jean, abbé de Sithin ou Saint-Bertin,au sujet d'un alleu situé à Ostsele (1087)[7].

Baudouin laisse une veuve, Mathilde Ou Reignewif, issue de Nobles parents[7], que Lambert d'Ardres (v. 1160-1227) appelle Mathilde et la Chronique de Tronchiennes Hemaviude Ou Hegnewide. Le comte de Flandre, Robert de Jérusalem, lui enlève Tronchiennes et le pays de Waes, qui avaient été donnés à Baudouin père par Robert le Frison. Mais qui ne tardent pas néanmoinsà rentrer dans sa famille. Reignewif fait une donation à Saint-Pierre de Gand pour l’âme de Son mari, décédé de Ses blessures à [13].

* Leur fille unique, Béatrice, épouse Thierry de Beveren, châtelain de Dixmude, dont les descendants disputeront plus tard, mais vainement, la possession d'Alost aux comtes de Flandreet de Hainaut. Ce Thierry, seigneur de Beveren et de Dixmude Se trouve, en 1096, aux croisades avec Robert II de Flandre et Baudouin II. Les seigneurs de Beveren brillent déjà au Xe siècle, et sont élevés aux charges les plus distinguées du comté de Flandre. Suivant l'Espinoy, Thierri, seigneur de Beveren et de Dixmude, est établi gouverneur de Flandre après lamort d'Arnoul Ier de Flandre, en 964[14].

* Leur fils aîné, Baudouin III de Gand,dit le Barbu, est seigneur d'Alost et de Tourcoing de 1098 à 1127, seigneur d'Alost et de Waise Pair des Pairs de Flandres.

* Ywan de Gand, seigneur d'Alost et de Tourcoing de 1127 à 1145, marié à la fille de Thierry d'Alsace, comte de Flandre (1128-1168) et Marguerite de Clermont (ou Suanhilde?). CetteLaurette de Flandre se marie quatre fois (d'abord avec Ywan,puis successivement avec Henri II, duc de Limbourg, Raoul Ier, comte de Vermandois, Henri IV, comte du Luxembourg) puis se retire à l'abbaye de Forest à Bruxelles, où elle meurt en 1170.

Quellenangaben

1 http://fr.wikipedia.org/wiki/Baudouin_II_de_Gand

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Titel Ackermann-Ahnen
Beschreibung Familienforschung Europa Schwerpunkte Hessen, Niedersachsen Hugenotten + Waldenser Europäisches Mittelalter
Hochgeladen 2024-01-01 13:36:39.0
Einsender user's avatar Thomas Wolfgang Ackermann
E-Mail ackermann.fuldatal@googlemail.com
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