Johannes DIEBOLD

Johannes DIEBOLD

Eigenschaften

Art Wert Datum Ort Quellenangaben
Name Johannes DIEBOLD
Beruf Chirurg
Religionszugehörigkeit Römisch-katholisch

Ereignisse

Art Datum Ort Quellenangaben
Geburt etwa 1680 Souffelweyersheim, Straßburg, Elsass, Frankreich (damals Deutschland) nach diesem Ort suchen
Taufe 23. Januar 1673 Evang. Kirche, Gries, Bas-Rhin, Frankreich nach diesem Ort suchen
Tod
Heirat etwa 1720

Ehepartner und Kinder

Heirat Ehepartner Kinder
etwa 1720
Maria Barbara NN-10C

Notizen zu dieser Person

Weyersheim wurde 774 in einer Schenkungsurkunde zugunsten des Klosters Weißenburg erstmals erwähnt.


 


Während des Dreißigjährigen Kriegs wurde der Ort zweimal fast völlig zerstört. Nur ein Haus, das Kleenderfel, welches als eines der ältesten erhaltenen Fachwerkhäuser des Elsass gilt, blieb unversehrt.


 


http://weyersheim.net.chez-alice.fr/


 


Weyersheim fut cité pour la première fois le 11 mai 774 sous le nom de Uuihereshaim, dans une charte par laquelle un certain Sigebaldus faisait une donation au couvent de Wissembourg.L'emplacement du vieux village serait donc occupé depuis le VIIIème siècle.


Le village est désigné sous le nom de Wieresheim en 884 dans une confirmation de biens faite par l' Empereur Charles le Gros à l'abbaye de Honau. Ce couvent, situé sur une île du Rhin près de la Wantzenau, fut fondé par des moines irlandais qui évangélisèrent toute la région. Ils portaient une dévotion particulière à St Michel, c'est donc pour cette raison que St Michel est devenu le saint patron de WeyersheimCadastre de 1820 sur lequel on voit les vestiges du tracé du fossé entourant la motte castrale.


C'est de cette période que pourrait dater le château féodal construit sur une motte castrale au fond de l’actuelle rue du Château. Il fut probablement détruitlors de la Guerre de Trente Ans. Actuellement, seul subsiste le tracé du fossé qui l’entourait ( le "Wihr", dont Weyersheim- "Wihresheim"- tiendrait son nom). C'était le château des Chevaliers de Weyersheim, parmi lesquels est signalé en 1152 Bourcard von Wihresheim. La famille s'éteint un siècle plus tard, après 1275, avec ses derniersreprésentants, Ulric et Albert von Wihresheim.


Le village passa aux seigneurs de Geroldseck, qui le garderent jusqu'à l'extinction de la lignée avec Wolmar von Geroldseck, vers 1390. Weyersheim fut alors partagé entre les comtes de Linange (Leinigen) et les sires d'Ochsenstein.


 


Au nom de Weyersheim était associé le qualificatif « A la Haute Tour », que la tradition orale rapporte à la hauteur remarquable de la tour de l’église."Weyersheim à la Haute Tour" sur la Carte de Cassini En réalité, il se réfère plus vraisemblablement à une ancienne tour romaine sur les ruines de laquelle fut construite en 1486 la chapelle St Wolfgang, grâce à la donation du terrain par les seigneurs Ritter d'Urendorf, auxquels le comte de Linange avait donné ces terres en gage. Cette chapelle était une véritable église fortifiée, qui dominait les plus hautes maisons du village, et fut le centre d’un important pélérinage. Elle fut malheureusement détruite lors des troubles de la Révolution.


 


Guerres, destructions et famines :


 


En 1525, les villageois prirent une part active à la guerre des Paysans. Plusieurs d'entre eux eux furent jugés devant le tribunal de l'Evêque. En juillet 1587, pendant la guerre des Voleurs, les troupes protestantes remontèrent le Rhin, et réduisirent la moitié du village en cendres. Incendié et pillé durant la gAncienne maison de WerlesDeck au 17 rue ST Wolfgang, peinte par Michel Zillioxuerre des évêques en 1592, Weyersheim a vu 40 maisons consumées par les flammes lors du départ des troupes de l'êveque de Strasbourg.


Weyersheim connut ensuite les vicissitudes de la guerre de Trente ans. En 1622, les hordes de Mansfeld, qui venaient de prendre Haguenau, ont mis le feu au village après avoir pillé toutes les maisons. La population s'était réfugiée dans le Pays de Bade pendant presque toute l'année 1622. A son retour, le village fut entièrement reconstruit.


A peine remis de ces destructions, Weyersheim fut envahi par les Suèdois, et fut à nouveau presque entièrement rasé. Les troupes suédoises firent subir de terribles sévices à la population, notamment le fameux "Schwedetrank". Entre 1635-36 (deux grandes années de famine) et 1642 (où les troupes impériales abandonnèrentdans le village près de 500 soldats morts de faim et de la peste), aucun enfant n'est né dans le village. L'agriculture fut tellement Maison archaique du Kleenderfel, peinte par MichelZillioxn égligée que la majeure partie des terres se couvrirent de ronces et de buissons. La seule maison subsistant de cette période de désolation est la maison archaiquedu Kleenderfel, datée de 1621 (c’est la plus ancienne du Ried Nord).


 


La reconstruction après la guerre de Trente Ans


 


Après les traités de Westphalie mettant fin à la guerre, le village fut repeuplé par des immigrants souabes, suisses tyroliens et tchèques ( des descendants des hussites ), puis fut reconstruit, avec l’argile du « Lemebarig »,La première maison reconstruite (1658) une ancienne carrière située entre Weyersheim et Kurtzenhouse. La première maison reconstruite est datée de 1658, mais le village subit encore des dommages en 1667, et pendant la guerre de Hollande. La grande vague de reconstruction commença lors de la décennie 1670. De cette époque datent de nombreuses maisons à pans de bois, dont les deux maisons de la Dîme.

Quellenangaben

1 OFB Östringen
Autor: Werner Haussmann
Angaben zur Veröffentlichung: Stadt Östringen (2001)
 Quellen: Die Daten dieses Buches sind den Kirchenbüchern der katholischen Kirchengemeinde St.Caecilia in Östringen und zu einem kleinen Teil den KB der katholischen Kirchengemeinde Odenheim entnommen. Auf Angabe der Konfession konnte deshalb verzichtet werden; die wenigen früher nach Östringen zugezogenen evangelischen Einwohner wurden auswärts er-faßt. Angaben zur stattlichen einstigen Östringer Judengemeinde wurden in das OSB aufgenommen, soweit die Daten vom katholischen Pfarramt erfaßt worden sind.

Datenbank

Titel Ahnentafel Mackert-Schad
Beschreibung Der Datenbestand Ahnentafel Mackert - Schad beinhaltet die Familien

Mackert - seit dem 14. Jahrhundert in Hettingen (Buchen) als Machart von Hettingen und in der Region Walldürn und Miltenberg (Dittigheim, Gissigheim) / Weinheim, Münch - Mosbach-Obrigheim, Heidelberg, Lützelsachsen, Brehm und Jeck - Odenwald (Lindenfels und Birkenau) bzw. Kantone Graubünden und Bern sowie Gierga und Schwinteck (Walzen, Kujau im Kreis Neustadt Ober-Schlesien) sowie die Vorfahren.

Schad - seit 1530 in Rietenau am Fuß der Löwensteiner Berge und in den Regionen östlicher Neckar zwischen Heilbronn, Stuttgart (Backnang) und Schwäbisch Hall, Fink - Enzkreis, kleiner Odenwald (Sinsheim) sowie Kraichgau mit vielen Wurzeln in der Schweiz, Weidner - Miltenberg dann Kraichgau (Malsch, Tiefenbach, Eichelberg, Östringen, Bruchsal und Ettlingen), Krieger - Laibach im Hohenlohischen, Donnersbergkreis, Kraichgau mit Bruchsal und Bretten sowie nördlicher Schwarzwald,

Flach - seit 1536 im Zürcher Gebiet belegt und Ende des 17. JH aus der Schweiz nach Weiler im Kraichgau eingewandert. Dort vermengen sie sich 1868 mit der Linie Landes-Mosemann, Täufer-Familien, die ebenfalls seit 1520 in Hirzel im Kanton Zürich leben und Ende des 17.JH aus dem Berner Gebiet nach Zuzenhausen eingewandert sind. Singer aus Löchgau dann Ottmarsheim und die Linie Bockmaier aus München bzw. Keidel aus Kirchheimbolanden in der Pfalz.

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Hochgeladen 2021-11-30 17:46:08.0
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